La mécanique du pire, de Marco Pianelli

En chemin pour Paris afin de réaliser une ultime mission, Lander est revenu en France. C’est risqué, mais le danger est son oxygène, sa façon de vivre… Lander est un nom d’emprunt, une identité nouvelle pour passer inaperçu, puisqu’il est mort aux yeux de la nation. Marchant sous la pluie, il croise la route d’une jeune femme, accompagné de ses deux enfants, en panne sur le bord de la chaussée. Son mari, policier, s’est suicidé dans des conditions étranges. Lander à une intuition que cela ne s’est pas passé ainsi. La BAC96 où il était affecté ne lui semble pas très franche du collier. Ayant horreur du doute, Lander décide de tenter d’y voir plus clair dans ce décès. Il va se lancer dans une bataille pour la vérité, seul contre une brigade bien rodée au combat, solidaire autour de leur chef, un lieutenant de police très bien noté de sa hiérarchie.

Lander, c’est un éléphant dans un magasin de porcelaine, un caillou dans la chaussure, un empêcheur de tourner en rond. Il cerne rapidement une faiblesse dans le jeu adverse, il va s’en servir pour découvrir la vérité. Puis, tant qu’il y sera, autant travailler un peu pour lui également ! Il monnaye auprès des chefs de gang le travail qu’il souhaite accomplir, ce sera son capital retraite. Il a proposé aux mafieux rançonnés par la BAC96 d’éliminé le problème sans que l’on puisse remonter jusqu’à eux. Sans arme, si ce n’est un petit couteau dans sa chaussure, Lander à promis de découvrir la vérité à la veuve, de faire cesser le racket sur le dos des mafia locales se partageant le territoire. Quand Lander entre en action, c’est une machine bien rodée qui taille la route. Lander va devenir un cauchemar pour ses ennemis, une menace pour ses partenaires, une occasion à saisir pour la veuve, ou pas…

Marco Pianelli, dans ce second roman, nous plonge dans une machinerie infernale, la mécanique du pire est un bras armé au service d’une justice parallèle, implacable dans ses jugements, innocente des dégâts qu’elle sème sur sa route. Lander, le soldat vengeur, utilise la force de ses victimes en la retournant contre eux. Avec lui, la cible expiatoire devient le coupable. Un roman totalement addictif, qu’on ne peut lâcher. La mécanique du pire c’est l’enfer qui s’ouvre sous les pieds des coupables. Lander, se fait tour à tour démon implacable, prophète d’une solution acceptable, ou Dieu en personne pour ceux qu’il défend. Lander est une trinité à lui seul, alliant force, logique et intelligence. En face de lui, le doute et la peur vont renforcer son pouvoir destructeur en fragmentant les forces adverses. Marco Pianelli promène les sentiments de son lecteur de l’effroi à la tendresse, en passant par toutes les demies teintes. La mécanique du pire serait de passer à côté de ce roman sans le lire !

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Présentation de l’éditeur

« Pour combattre des démons, on gagne à faire appel au Diable, lui avait dit un jour un chef de clan en Afghanistan. »

Lander doit se rendre à Paris pour accomplir sa dernière mission. Un objectif très à risques, véritable raison de son retour en France et de son changement d’identité. Pour lui, le compte à rebours est déjà lancé. Mais en chemin, il croise la route de Marie. Une jeune veuve dont l’époux policier s’est « suicidé » il y a quelques années, la laissant seule avec leurs deux enfants et beaucoup trop de questions… Lander a un doute, une intuition… Derrière ce geste désespéré, n’y aurait-il pas la marque du Mal ? Comme les ténébreux agissements de la BAC 96 qui semble avoir mis la ville sous sa coupe ! Implacable et plus enragé qu’un fauve, Lander se lance à corps perdu dans ce combat, bien décidé à faire place nette et à rétablir la vérité !

Un peu de l’auteur

Il s’appelle Marco Pianelli en hommage à une grand-mère corse, probable inspiratrice de son goût de la lecture. Après des études littéraires, il part à l’étranger en Europe Centrale, où il devient enseignant. De cette période, il gardé une saveur fictionnelle d’être l’inconnu dans un milieu, suscitant le doute, l’intérêt, la méfiance, et parfois la menace. Depuis son retour il pratique avec assiduité les sports de combat et la littérature. L’Ombre de la nuit  fut son premier roman, un essai qu’il transforme avec brio dans La mécanique du pire..

Source photo Editions JIGAL

 

 

 

Détails du produit

• Éditeur ‏ : ‎ Jigal Editions (3 juin 2022)
• Langue ‏ : ‎ Français
• Broché ‏ : ‎ 264 pages
• ISBN-10 ‏ : ‎ 2377221653
• ISBN-13 ‏ : ‎ 978-2377221653
• Poids de l’article ‏ : ‎ 259 g
• Dimensions ‏ : ‎ 14 x 2.5 x 21 cm

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A propos Jérôme Cayla

Chroniqueur littéraire, lecteur, auteur de deux romans : Mathilde et Trois roses blanches. Je travaille habituellement avec les services presse des maisons d'éditions Me contacter par Mail sur contact Presse pour les livres en services de presse.
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