J’ai fait mieux depuis, d’Agnès Dumont

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 Les choses les plus simples de la vie sont, parfois, la source d’emmerdements les plus grands !

Au travers de ses pérégrinations dans les rues de Liège, Agnès Dumont conduit son lecteur à se poser les bonnes questions. Chacune de ses nouvelles est une pensée nous ayant traversé l’esprit lors d’un regard, d’une promenade ou d’une colère sous jacente et, dont nul ne saurait en connaître l’issue. Ce sont des petits riens, des anecdotes qui pourtant savent facilement nous gâcher la vie. Tantôt sourire ou aigre douce, Agnès Dumont plonge avec délice dans notre conduite insouciante, plaçant le doigt là où le bas blesse… Avec elle, notre entourage prend un autre regard, parce que souvent, c’est par lui que naissent les exaspérations vous faisant rêver d’un ailleurs avec un ciel plus bleu. Pourtant, il est des fois où, malgré la sinistrose la plus noire, surgissent des éclaircies d’une rare tendresse…

Agnès Dumont joue avec nos sentiments afin d’ouvrir notre vigilance sur ceux que nous côtoyons, que nous n’oublions pas d’oser rester ouvert. Chaque individu cherche une forme de reconnaissance, mais ordinairement s’y prend très mal. Rien que le titre est un gage de changement pour demain : après tout, c’est sûrement faisable.

Desnouvelles touchantes, pleines de vérité, pour le plaisir de tous.

L’auteur (source éditions quadrature)
Après Demain, je franchis la frontière, Agnès Dumont nous offre un deuxième recueil  avec  Liège en  toile de fond. C’est dans cette ville qu’elle vit  et enseigne le français. 

Le livre (source éditions quadrature)
– J’ai sans doute tort, mais je regarde peu les fesses des hommes. Jeanne espère s’être exprimée avec toute l’ironie suffisante pour empêcher Sandra, la jeune aide-ménagère, de déceler les regrets qui se cachent sous la surface sarcastique. La gamine lui lance un regard déçu et retourne à son magazine people: c’est sa pause de dix heures, elle y a droit. Didi, qui l’a prise en affection, saute sur ses genoux et froisse Brad Pitt photographié sur une plage exotique.
– Toi non plus, tu n’aimes pas les hommes en maillot ? rigole Sandra en caressant la grosse chatte entre les oreilles.
Dans le salon, le ventilateur souligne de ses sifflements asthmatiques le compromis auquel sont arrivées les deux femmes. Pour Jeanne, fenêtres fermées à cause du rugissement des moteurs, sur le boulevard. Même ainsi, leurs vrombissements s’insinuent entre les lattes du plancher, font trembler les tapis persans, secouent ses pantoufles, remontent le long de ses mollets et se faufilent dans ses viscères pour trouver refuge au fond de son estomac où ils vont lui creuser un ulcère, c’est certain.

Sortie officielle en novembre 2011

ISBN : 978-2-930538-20-4 (livre broché) 15€
ISBN : 978-2-930538-21-1 (format ePUB) 12€

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A propos Jérôme Cayla

Chroniqueur littéraire, lecteur, auteur de deux romans : Mathilde et Trois roses blanches. Je travaille habituellement avec les services presse des maisons d'éditions Me contacter par Mail sur contact Presse pour les livres en services de presse.
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