Rien n’est plus difficile pour un sportif, que de peser plus d’un quintal !

C’est justement ce que découvre Lukas, qui gagne, à raison d’une moyenne de cinq kilogrammes par jour, ce qu’il a toujours reproché aux autres. Avec le gain en opulence, lui vient aussi la mésestime de lui, avec une élévation proportionnelle de sa peur du lendemain. Plus il constate que sa balance l’accuse, moins Lukas conçoit son devenir ; ou plutôt, se refuse-t-il de l’envisager ; perdre sa ravissante femme et son travail de directeur commercial lui ôterait jusqu’à ses forces vitales, sa vie, sa raison de vivre.
Même sa Porsche le boude en se faisant trop étroite pour lui, tout comme les vêtements qui ne lui vont plus que pendant deux jours, au mieux. Arrêté pour tenter de se soigner, de mettre un frein à ce gain surcharge pondérale, sa femme le remplace avec bonheur à la direction du magasin.
Serait-il envisageable que la prophétie de cette femme fût vraie, qu’elle lui ait réellement jeté un sort funeste pour le punir d’avoir osé ?
A mesure que la vie de l’un se ralentit, c’est celles des autres qui semblent prendre leurs essors… Tous prospèrent, mais seul Lukas le fait pour sa perte…

Ce roman de Paskal Carlier vous attrape dès le prologue constitué de quatre lignes seulement, vous donnant l’envie de le lire et, vous garde au long de son récit. On se sent mal à l’aise avec Lukas, on partage ses inquiétudes ; tout comme le lecteur partage l’enthousiasme de ceux pour qui la vie continue…

Riche en émotions, ce livre ressemble à son auteur, tout en finesse et en sourire…
Une jolie leçon, bien ficelée, emballée dans un thriller, en restant pleine de vérité et d’empathie. Si le titre est loin d’être un appel,  » Vengeance XXL », mérite vraiment d’être lu, il confirme l’homme que j’ai cru appréhender…

Ce qu’en dit l’éditeur :

Ce roman est l’histoire de la plus incroyable des vengeances : La vie sourit à Lukas Dejeans. Dôté d’un physique agréable et d’une excellente situation, il mène une vie de rêve. Un jour, il licencie un de ses employés pour cause d’obésité. Tandis que Lukas reste sourd aux supplications de l’homme, une étrange vieille femme lui jette alors une malédiction. Commence alors le plus grand combat qu’un homme n’ait jamais mené…

 » Ce livre est magique. Il possède un véritable pouvoir, celui d’envoûter ses lecteurs… Depuis longtemps je n’avais plus ressenti cette honteuse envie de me rendre à la dernière page d’un livre, pour mettre un terme au plus vite à cette douloureuse curiosité. J’avais hâte de retrouver mon souffle tant ce livre me tenait en apnée, hâte de retrouver mes nuits de sommeil, tant il m’a captivé. »

Christine Blanc, journaliste.

Paskal Carlier a toujours écrit ; d’abord à l’école des rédactions qui n’en finissaient pas, puis dans sa jeunesse, une multitude de chansons (qu’il a interprétées). Il s’est ensuite tourné vers la poésie et les nouvelles en participant à divers concours qui lui ont valu de recevoir quelques prix et une certaine reconnaissance. Une rencontre avec une écrivain public, va être déterminante : il entreprend l’écriture de son premier roman Grossir à en mourir, bon succès auprès du public puisque, quatre mois après sa sortie, le stock est épuisé. Passionné par des auteurs comme Franck Thilliez, Stephen King et Maxime Chattam, il invente des histoires au suspense intense. Paskal Carlier est né à Beaumont-sur-Oise dans le Val-d’Oise, il vit aujourd’hui avec sa femme et son fils à Montargis, mais son rêve le plus cher serait de pouvoir s’installer en Bretagne, région qu’il affectionne tout particulièrement.

Kirographaire éditions : http://www.edkiro.fr/

Un peu de l’auteur

Editeur et écrivain, Paskal Carlier est né à Beaumont-sur-Oise dans le Val-d’Oise, il vit aujourd’hui avec sa femme et son fils à Montargis, mais son rêve le plus cher serait de pouvoir s’installer en Bretagne, région qu’il affectionne tout particulièrement.
Il a écrit dans sa jeunesse, une multitude de chansons . Il s’est ensuite tourné vers la poésie et les nouvelles en participant à divers concours qui lui ont valu de recevoir quelques prix et une certaine reconnaissance. Il entreprend l’écriture de son premier roman Grossir à en mourir,
Passionné par des auteurs comme Stephen King, Maxime Chattam et Franck Thilliez, il invente des histoires à suspense toujours mystérieuses et ésotériques.

Créée le 14 mai 2010, « Les Editions du Préau » est née de l’expérience de son gérant Paskal Carlier qui, après trois ans passés à étudier le monde de l’édition, a décidé de franchir le pas et de créer sa propre maison.
Pour cela, il s’est entouré d’un comité de lecture de 8 personnes (4 enfants et 4 adultes) et de 3 correcteurs. Il édite des livres pour les jeunes à partir de 5 ans, pour les ados, mais aussi quelques romans adultes sélectionnés pour leur qualité d’écriture et l’originalité du thème.

Source : http://www.k-libre.fr

Broché

ISBN  978-2-8225-0009-8

 

A propos Jérôme Cayla

Chroniqueur littéraire, lecteur, auteur de deux romans : Mathilde et Trois roses blanches. Je travaille habituellement avec les services presse des maisons d'éditions Me contacter par Mail sur contact Presse pour les livres en services de presse.
Ce contenu a été publié dans Critiques littéraires, Livres, Romans contemporains, avec comme mot(s)-clé(s) , , , , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

Laisser un commentaire